C’est seulement sous forme carbonisée que peuvent se conserver en place des parties de l’élévation des bâtiments en bois. A ce titre, les incendies qui détruisaient fréquemment les quartiers de Bibcracte sont une aubaine pour les archéologues. On distingue ici un pan de mur effondré sur un sol en terre battue d’une maison. Les poteau verticaux qui formaient l’ossature sont espacé de 90 cm. Le mur lui-même est fait de larges planches clouées à l’horizontale.