Les combattants gaulois sont surtout équipés et entraînés pour le corps à corps. Leurs épées jouent donc un rôle majeur et sont protégées dans des fourreaux. Les fourreaux sont renforcés aux points fragiles, notamment à l’extrémité où la lame pèse le plus. La bouterolle est le nom donné à ce renfort. Celle-ci présente une extrémité arrondie et deux baguettes, les frettes, qui se raccordaient au fourreau. (L 17 cm; larg. 5,3 cm ; ép. 1 cm).